Bienvenue Dans L\'Ecrin Poétique De Rubis La Pierre Précieuse

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Temple De Sagesse


Quelquefois tes paroles blessent
Tes mots quémandent la morale
Quelques uns passent inaperçus
Mais d'autres restent et bien aperçus
Les acrostiches sont nés avec acrimonie
Certes les acrobaties sont devenues fructueuses
Mais se jalousent et se froissent
S'idolâtrer toujours c'est valeureux
Mais déserter les lieux c'est malheureux
Souviens-toi de tes idoles…
Au soleil couchant ils se réveillent
D'où ils sont te surveillent
Si la lune éclaire tes pas à ton passage
Avec son néon agite les rapaces hideux
Aux aguets et à l'affût de ton éloquence
Imbibent avidement le phalanstère
Et angoisse les célébrités en brillance
Je sais maintenant qu'à ton image
Effluve la plus grande sagesse
Qui s'ennuie à écrouer les anges sous les cendres
Les idoles que tu vénérais…
Marchent à présent dans les ténèbres
Leurs cœurs et leurs âmes sont en sommeil
Sur un grand feu vermeil…
Ah ces grandes idoles…
Le tonnerre les a grondées
Et la foudre les a tuées
Quel dommage…et quel deuil…
L'histoire n'est pas encore finie
Il y a encore de l'eau pour la belle partie
Pour tout retirer et inonder davantage
Et qui saura propulser la bonne odeur
Qui vous étouffait par son encens
Sur les moments de réflexions
Tes écrits étaient une crème
Onctueuse qui palpitait les cœurs
Ô lumière ne pâlit pas
Sachez les idoles
La vie est un grand livre
Que la sagesse a dédié…
Chacun y a droit à ce recueil
Le temps se chargera des mots
Qui s'illustrent par eux même
Mais gare aux fautes…
Celui qui en commettra se punira lui-même
hélas! il ne pourra rien rectifier
Car déjà l'encre y est bien sèche
Les feuilles resteront maculées à tout jamais
Comme une caresse pleine de sagesse
Pétrifiée et tordue par les remords
Rangée dans un entassement à tord
Au fond de sa sérénité rouillée
Elle vint comme une diva
Envoyant son parfum à petits pas telle une bise de rêve
Dans une image affriolante
Qui attire toutes les contraintes
Son surnom incite à la discorde
Qui affronte tous les extases
Créant des froufrous tout faux
Qui devinrent sa texture alléchante
Au bord des satires amusantes
Qui fulminent les plumes audacieuses
Dommage... Ô ! Que c'est bien dommage
Sagesse…sagesse dis-moi qui tu fréquentes…
Si tu t'en vas…
Dommage je porterai ton deuil…
En fidèle Je viendrai m'abriter

Dans ton temple de sagesse...


Rubilite Le Rubis 

Le 19/01/2007

 



04/03/2010
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