Bienvenue Dans L\'Ecrin Poétique De Rubis La Pierre Précieuse

Bienvenue Dans L\'Ecrin Poétique De Rubis La Pierre Précieuse

Préjugés Calomnieux

  PREJUGES CALOMNIEUX

Sous le chapiteau sculpté
Trépident des trémolos verbeux calomnieux
Déraisonnant avec des voix hystériques
En se balançant des rixes sarcastiques
Les lapidaires usaient de leur savoir
Intrépides et sans discrétion aucune
Déversaient des mots dévalorisants
Chapardant des styles déstabilisants
Dans un chapitre clandestin
Trop illicite même dégommé
Et tous Mêlés dans un chaos déglingué
Dégoisaient des futilités dégainées
Certes ce larcin était jouissif
Un vrai objet de dévotion
Etrangement démaillé mais certain
Pour allumer le feu des esprits malins
Même les partisans étaient éméchés
Malsains dévoreurs de remords ébréchés
Par moments d'insanité furtive
Et disons le !!! Et quel honneur!!
Dans ce bayou mystifié moqueur
C'était Un vrai tremplin complaisant
Sans le nier, il l'est toujours,
Etalé même sur un lit à baldaquin
En mouvement pour tâter avec ferveur
Le revers du médaillon baladeur
Ah ! Pardon de la médaille
A qui pourrait la gagner et la suspendre au cou
Pour révérer les rêves dilapidés
Brisés comme une cloche fêlée
Quel tourbillon en oscillation !!
Je ne peux dans cette mêlée me confondre
j'étais là sans pour autant être lasse
Peut être que les quolibets des quidams
Me paraissaient trop salés à mon goût
Puissent ils encore quoique aimants
Ratisser les marécages puants
Et rassembler toutes les friandises restantes
Emiettées qui attisent la curiosité jalousée
Même les charognards viendraient en rompant
Terminer l'oeuvre restant des attardés
Là je m'éloigne pour regarder avec mépris
L'art des débiles machiavéliques
Je m'éloigne mais je ne pâlirais jamais
Car mes lumières seront à toujours brillantes
Douces sinon tamisées mais jamais éclipsées
Je ne dis pas que je suis l'astre rouge
Sinon une étoile filante qui passe son chemin
Et à qui voudrait faire un voeu en vitesse
Mais seulement une simplette avec des tresses
En jupe plissée et des chaussures plates
Pour fouler doucement le sol sur les pointes
Sans bruit et sans fanfarons tapageur
Chut !!le réveil du renouveau s'alarme
Voulant juste pulvériser les méchants
Mais la danse est très profonde
A force de trop veiller et trop gesticuler
Ne les réveillez surtout pas sinon vous subissez
Le même châtiment archaïque ....
Et avec quel excès de zèle!!!

Rubis contemporaine
Le 20/03/2007



04/03/2010
0 Poster un commentaire

Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 18 autres membres