Bienvenue Dans L\'Ecrin Poétique De Rubis La Pierre Précieuse

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Pot En Or 'duo'

                                 Pot En Or 'duo'

 

Et je continue cette idylle épicée
Qui n'est que tête forte évincée
On dira peut-être que c'est illogique
Je penserais fort heureusement à ma logique
Au bout de tes satires ressort ton génie
Tous les pots ne sauraient te ressembler
Port en terre…ou de toute autre matière
Le tien est en or de toute manière
Je suis ton harmonie sereine
Qui te tiendra de boute-en-train en haleine
Quoique brasier tu illumines les sens
Grenade je fuserais et éclaterais à mon sens
En cendre je m'enfouirais dans tes méandres
Je graverais ta peau comme une salamandre
Ta touche d'humour n'est que sédative
Je suivrais la lignée de tes flammèches persuasives
Ô ! quelle évasion errante sur la scène
Et on criera hip hip hourra sans peine
Je sentirais le roussi, on me mettra sur le gril
Avec adresse j'éluderai les pacotilles
Ne t'en fais pas pot en « or »
Je saurais trouver l'astuce dès lors
Je changerai de tenue…je serais rébus
Au point de ne plus être revue
Je contournerais tous les regards
Et on dira hé ! Rubis du calme !!!
Je dirais je continue et je m'abreuverais
Tu seras mon comble… je serais recueillement
De ces mots ont germés les troubles
De ton dévolu on a jeté un sort
Et les mots ne s'arrêteront jamais
Il n'y a pas de frontière au bout d'une plume…


Amitiés poétiques.

Rubis
Le 19/11/2007

comme toujours tu exagères,
ça va finir par me plaire,
je deviendrai de + en = éxigent,
et ce sera pour toi enrageant.

tu ne trouverais plus les termes,
qui me tiendraient serain et ferme,
je ne me voudrai plus que pot en or,
mais en une matière inexistante encore.

hou là là! je vais avoir du chagrin...
...du chagrin de ne pas être tout pès de toi
de chaleureuse à chaude il n'y a qu'un pas
je dirai, je sens déjà le roussi
l'enfer doit être "d'enfer" j'ai hate de m'y retrouver
(quelle ambiance! je vois ça d'ici)
ô que oui, avec tous (es) les tarrés (es), les excentriques, les originels...
de toutes les races et temps

je suis moi même un brasier qui te ferai cendre,
quand de ton nuage tu vas descendre,
vers moi qui te tends les bras,
les lèvres entrouvertes déjà,

avides des tiennes, animées,
sortant des mots inextinguibles, germés,
d'amours forts indéfinissables,
tant leur douceur me rendent déraisonnable

 

POT

23 Nov 2007, 22:30

 



04/03/2010
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