Bienvenue Dans L\'Ecrin Poétique De Rubis La Pierre Précieuse

Comme chaque action engendre une réaction,
je respecte des avis, sans y apporter caution ,
j'aime me frayer mon chemin à travers l'espace,
même si devant les difficultés, la gueule je me casse ;
Que c'est enivrant les randonnées champêtres,
à travers les prés et les forêts, d'arbres variés et de hêtres,
quand vos narines de mille senteurs se remplissent,
pour ne garder de vos aventures que les délices ;
Les ballets des eaux muant en leurs milieux,
dans les bruits de leurs chutes et tourbillons écumeux,
deviennent féeriques quand les rayons de soleil,
scintillent dans ces flots, d'étoiles dansant en kyrielles ;
Rien ne vaut les jeux des bêtes qui paissent,
des domestiques et des sauvages de différentes espèces,
aux oiseaux, chanteurs ou rapaces
et les prédateurs carnassiers voraces ;
Chaque individu tenant son rôle dans cette chaîne,
même le requin et la féroce Hyène,
nous nous complétons dans nos différences ,
puisque même à celui que je n'aime pas, je pense.
Il fait partie de ma vie, de par notre existence simultanée,
de par lui, mes similitudes me confondent aux blonds et aux basanés ,
celles des mots, leurs synonymes et contraires,
donnent les preuves de cœxistences, depuis des millénaires.

FAIT  le 25/05/2007

Que tes vers soient une doctrine de toutes les vertus
Qui soigne le mal causé par certaines épines…
Ton message est une belle composition
Une sage version dans le mythe en question…

Je me suis baignée en toute ivresse dans les flots de tes mots
Dans les vagues de tes verbes se noie ta grande verve
Unissant et vampant les mirettes et les esprits qui crèvent
Soucieuses les lèvres clouées ne disent plus mot
Devant ce beau et fructueux lagon bleu
Qui saisit les éternels niais les rendant victimes
Comme des crabes à grosses pinces cassées
Le rayon les a brûlés furtivement
Sans qu'ils s'en rendent compte les a calcinés hâtivement
Indigènes ou allogènes qu'importe l'exotisme
Point de racisme au bout des neurones
Que vous soyez blonds ou noirs…on a tous le sang rouge
Ne snobez jamais vos semblables c'est irritable
Combattez donc !!! votre sort reste inévitable
Regardez votre mitraille crachant la folie qui rie et pleure impolie
Sur les effroyables êtres soûles et livides
Dans cette bataille j'erre en silence
Je cherche la faille qui me rend à l'évidence
Je ne saisis toujours rien à la révolte
Je marche en alchimiste et en pèlerin
Sur les chemins où traînent les méchants fourbes
Gonflant les mots au souffle du vent venu D'ailleurs et d'ici
Fauchant les belles graines assagies fertiles et Stériles de tous maux
Qui chuchotent la mature et la vertu…