Mon Ami Mon Confident
J'ai toujours eu besoin de toi
Même dans mes instants de joie
J'ai évité mes peines et mes déchirures
Pour ne jamais te tracasser avec mes blessures...
Tu me disais toujours
Me voici amie de chaque jours...
Les larmes aux yeux je te souriais
Et tu comprenais mon désarrois que j'écriais...
Ainsi, avec un clin d'oeil furtivement
Que tu dessinais subtilement
Tu apaisais mes souffrances totalement
Tu savais que ma douce gaieté
Etait occise avec fermeté...
Essayant de se frayer un envol
Sur les ailes du temps comme un rossignol.
Avec délicatesse tu la saisissais
Pour arrêter mes perles qui m'arrosaient.
MON AMI MON CONFIDENT,
Je te dédie mes maux les plus stridents
Avec grande désolation...
Par la force des choses ressenties
De mon for intérieur pressenties.
Ces mots éternels que je réprimande
Sont naissants d'une brûlante sarabande
Et d'un infini désir que je quémande
Propulsés par la force d'une sarbacane
Fouettant le sens intime qui ricane
Le sort est envoûtant
Le sarcler serait un préjudice alarmant
Nul stratège, nul admirateur fervent
Ne prouverait la force de cet amour bouleversant...
Rubilite Le Rubis
le 22/06/2006
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