Le conte de mon histoire
Si je vous contais les images d'une histoire
L'inconnu lui tracerait un répertoire
Si je vous dis que c'est un écrit réquisitoire
Répondriez –vous aux propos de ce dépositaire
Sauriez -vous miser pour décomposer le notable
C'est une réalité loin de tout préjudice mental
Il y a sûrement ceux qu'ils vont voiler la face
Et feront semblant d'être sous une autre carapace
Fermée ne laissant aucun bout d'espace
Celui des risques qui marquent sa préface..
On aurait compris une quête prémonitoire
Qui quémandait un grand pouvoir divinatoire
Si je vous lis ce grand vécu qui fut aléatoire
Simplement ne demandez rien pensez seulement
Pensez à dire ce que vous avez à dire spontanément
C'est bien et bel le fruit défendu à qui on reproche
D'être serein dans cette alcôve qui accroche…
Enlacé…au milieu de ses bras il était reçu
Ouverts longtemps quant à ses étreintes conçues
Aimaient dessiner des bleus pressés avec ses pouces
Le protégeant des courants de cœur que l'on ressentait
Anormaux voire délicats qui d'ici bas représentaient
La cours délicate destinée au monde des idylles
Passagères pour adoucir la teneur grande inutile...
Qui a donc parlé de ce fruit défendu démon
Qui l'a donc Piétiné de piètres boniments ...
Si je vous raconte mon histoire
L'inconnu lui tracerait un répertoire
Chaque maîtrise des potins malicieux omniprésents
Froncerait les sourcils marquant des traits sur leurs fronts
Dessinant une inquiétude pour le devenir de son affront
Avez-vous compté combien de doigts avaient du pouvoir
Pour montrer un show pour ridiculiser et mouvoir
Quand les yeux grands ouverts cherchaient sans le vouloir
La maîtrise qui glissait entre le marteau et l'enclume...
Drainant une pore sèche qui laminait une mine bénigne
Je suis mal comme le scrutin d'un vil
Ne me demandez rien…ce n'est pas puéril...
A toutes les personnes que j'estime spécialement
Une valeur est sûre qui ne se perd rapidement
Une gerbe d'hibiscus jaunes et rouges que j'offre
Avec un cœur haletant qui freine les affres
Qui s'évadent d'un monde évident et poursuit
Une ombre qui s'efface et échoue dans l'ennui
Et dans le bruit pour atterrir dans l'oubli...
Aimeriez- vous lire cette longue histoire
Et rassembler les puzzles dérisoires
Avant que j'entame ce qui s'annonce immédiatement
Je voulais vous dire tout simplement
Que je suis née dans le cœur de l'art subitement
Je n'ai pas cherché à savoir mes événement
On m'a appelé lumière sans que je puisse rêver l'être
Et ressembler à la lune ou à Saturne et que peut-être
Si toutefois on m'accuse d'être une égocentrique
Mais je ne suis que moi sans pouvoir être illogique...
RUBIS 25/10/2009
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